LES + : Avoir un oxymètre de pouls dans sa poche avec affichage de la fréquence cardiaque, c’est classe et pratique, aux urgences, en SMUR, en consult’, à domicile... Ça peut aussi être utile aux pneumologues pour les tests de marche, mais pour l’instant il y en a très peu à l’hôpital !
LES - : Un oxymètre de pouls classique, non connecté, coûte seulement 10 € et en tant que médecin on n’a pas besoin d’historique... Pour une utilisation prolongée sur plusieurs minutes (heures ?), la pince du Ihealth, très grosse, n’est pas confortable, et le Iox est impossible à utiliser car il doit être connecté au téléphone pour fonctionner !
L’avis du pneumo : Pour le suivi des patients IRC ils ont un caractère très anxiogène et pas très utile au final, car c’est la clinique qui prime...
L’avis de Jérôme : « C'est beaucoup plus agréable de visualiser les chiffres directement sur la pince et de ne pas avoir de l à la patte. Mais quand l'indicateur de saturation du Iox est descendu dans le rouge (en dessous de 89 %), j'ai eu peur d'y rester ! On m'a expliqué que c'était probablement une histoire de signal trop faible parce que j'avais bougé ou mal mis mon doigt. Mais quand on ne le sait pas, c'est inquiétant... »
Conclusion :Pour les cybercondriaques branchés, l’oxymètre Ihealth sans fil peut compléter la panoplie « pomme croquée » de surveillance des paramètres vitaux. Mais quitte à surveiller sa santé, les bijoux connectés sont quand même plus esthétiques !