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Ce mois-ci, la rédac’ a découvert le blog de Tristan, étudiant en médecine, qui partage conseils et stratégies pour faire face aux examens de médecine. Vraiment utiles, simples, pleins de bon sens, et en accès libre…
Back to the faculty… Hébergé par l’Étudiant, le blog de Tristan nous fait rasseoir de suite sur les bancs de nos facs de médecine, vers des souvenirs d’une saveur variable… Le contenu du blog, lui, est tout sauf marqué de nostalgie ou du trauma du concours. Il est décidément optimiste, bienveillant et surtout anti-fataliste !
Intitulé « Paces : passer primant, mode d’emploi », le blog présente Tristan comme quasi voué à l’échec au concours de Paces avec son bac S sans mention en poche, statistiques obligent... Il est finalement passé primant. Le voici donc maintenant qui prodigue, dans ses billets thématiques, des « conseils, astuces et techniques de travail simples et efficaces ».
Son dernier post du 27 mars, Accepter d’échouer et savoir rebondir, est loin de n’être utile qu’aux étudiants de première année ! Surtout dans notre métier où l’apprentissage se poursuit tout au long de la vie professionnelle. Et après tout, cela marche aussi pour la vie perso…
Tristan aborde la notion d’échec, nos réactions lorsqu’on s’y confronte, avant d’en venir à son utilité et la manière de le surmonter et surtout de l’utiliser. Il termine sur la nécessité d’« apprendre à perdre et à persévérer », pour conclure ainsi : « Prenez donc ces échecs et difficultés pour des acquis, remettez-vous en cause et continuez à avancer ».
En dehors des billets purement Paces, le blog propose par exemple des sujets sur l’apprentissage et la nutrition, sur la mémoire. Si Tristan n’est ni un spécialiste de la pédagogie, ni un journaliste scientifique, il partage ce qui l’a aidé à parvenir à ses objectifs. Comme le fait d’avoir gardé sous ses yeux une photo de centaines d’étudiants planchant au concours sur leurs tables individuelles : « dans les moments difficiles, je regardais cette photo et je me disais qu’on était tous dans la même galère et qu’il ne fallait rien lâcher ».
Bref, du vécu saupoudré de science, à toutes fins utiles...